Agent IA, scénario ou LLM : le glossaire indispensable pour comprendre l’automatisation et l’IA

L’automatisation visuelle fait exactement ce que son nom annonce : automatise vos processus de manière accessible via une interface visuelle. Le principe de l’automatisation sur Make par exemple ? Glissez et déposez vos blocs qui représentent vos actions : “envoyer un mail”, “créer un dossier”, “extraire un champ”, “mettre à jour un CRM” etc. Vous voyez ce que vous faites, vous connectez des bulles entre elles, et vous construisez votre logique comme un puzzle.

Avec l’automatisation visuelle, plus besoin de connaissances en codes. Oui, il est enfin possible de dire bye-bye à Python ou JavaScript ou d’être dépendant de l’expert dans votre entreprise : vous pouvez apprivoiser vous-même l’outil.

💡L’automatisation visuelle est le point de départ et la valeur ajoutée de la solution Make. Là aussi, nos équipes vous accompagnent pour structurer vos scénarios et besoins !

Un connecteur API est un petit module qui permet à deux logiciels de “parler” entre eux. Il transforme des échanges techniques complexes en actions simples que vous pouvez utiliser facilement. Les connecteurs facilite la connexion entre tous vos outils métier et optimise la création de processus automatisés.

💡Make se connecte à tous vos outils et vous permet de créer des actions automatisées traversant votre système d’information : envoyer un email, récupérer une facture ou mettre à jour un client dans votre CRM.

Un workflow est la représentation structurée d’un processus métier : étapes, conditions, décisions, enchaînements et actions.
💡Dans Make, il devient un scénario automatisé qui exécute ces étapes de manière fiable et reproductible, quel que soit le volume ou la fréquence.

Le scénario est la construction concrète du workflow dans une solution d’automatisation comme Make par exemple. C’est ici que vous définissez les actions, les conditions, les boucles, les agents IA, les intégrations et les déclencheurs. Un scénario bien conçu vous assure un traitement automatique, logique et adapté à vos usages quotidiens et fait le lien avec tous vos outils.

L’orchestration est la capacité à coordonner, prioriser et synchroniser les différentes actions, données et agents (la définition se trouve juste en dessous 👇) d’un workflow.
Elle assure que les étapes s’exécutent dans le bon ordre, avec les bonnes données, au bon moment, même lorsque plusieurs systèmes ou règles interviennent.
Sans orchestration, une automatisation devient instable ; avec elle, le système est cohérent et fiable.

Le data mapping consiste à faire correspondre précisément les champs d’un système avec ceux d’un autre. C’est l’étape qui garantit que chaque donnée est transmise, classée et interprétée correctement dans un workflow.

💡Un data mapping fiable est indispensable pour automatiser les processus documentaires, commerciaux ou opérationnels sans créer d’erreurs ou d’incohérences.

Un LLM est un modèle d’intelligence artificielle spécialisé dans la compréhension, l’analyse et la génération de texte. C’est le modèle qui se cache derrière ChatGPT, Gemini ou encore Claude lorsque vous lui écrivez un… prompt (on vous dévoile la définition juste en dessous 👇). Il peut détecter des intentions, transformer un contenu complexe en données exploitables, reformuler, catégoriser, synthétiser ou produire des informations structurées.
💡Dans Make, vous pouvez ajouter des LLM dans vos scénarios pour automatiser l’analyse de documents, la gestion d’emails ou encore la préparation d’actions métiers.

Un prompt est l’instruction que vous envoyée à un modèle d’IA LLM pour qu’il réponde à votre requête (on vous explique comment ça fonctionne dans la définition ci-dessus 👆). Il faut imaginer un prompt comme un discours écrit qui doit être précis, structuré, contextualisé et reproductible afin de correspondre parfaitement à votre demande. Ton de voix, génération de contenus, actions à réaliser : l’IA vous fait une réponse aux petits oignons !

💡Dans une solution comme Make, vous réalisez des prompts lorsque vous intégrer de l’intelligence artificielle dans vos scénarios d’automatisation. Et la bonne nouvelle, c’est que nos équipes vous aident même dans cette étape de structuration ✨.

Un webhook est un mécanisme qui transmet automatiquement une information d’une application vers une autre dès qu’un événement se produit : nouveau fichier reçu, mise à jour de fiche, dépôt de document, soumission de formulaire…

💡Dans Make, il sert principalement de déclencheur immédiat pour vos automatisations, garantissant une réactivité en temps réel.

Le trigger est l’élément qui lance un scénario dans Make. Il peut s’agir d’un webhook, d’une action planifiée, d’une modification dans un système tiers ou de l’arrivée d’une donnée. Chaque automatisation commence par un trigger : sans lui, aucun workflow ne s’exécute.

L’IA générative est la technologie capable de produire du contenu (textes, réponses, descriptions, résumés, champs métiers…) à partir d’un contexte donné. Ce sont les fameux ChatGPT et autre Gemini, utilisant le modèle LLM vus plus haut, qu’on appelle de l’IA générative.
💡Elle permet de transformer une donnée brute, document, message, note interne, en une information prête à l’usage : synthèse, classification, recommandation, rédaction automatisée, extraction avancée. Dans les workflows, elle devient un moteur d’enrichissement et d’interprétation qui est géré par un opérateur.

Un agent IA est une entité autonome capable d’exécuter des tâches complexes en s’appuyant sur l’analyse de données, la compréhension du contexte et la prise de décision. Contrairement à une automatisation classique, un agent IA peut ajuster son action en fonction de la situation réelle : priorisation, vérification, interprétation, choix du bon flux.
💡Les agents IA dans Make agissent comme des collaborateurs numériques qui prennent des décisions automatisées sur des règles fixes. Par exemple, si un document est reçu avec le nom précis d’un destinataire, il sera envoyé automatiquement dans un dossier spécial avec, en complément, le résumé de ce document.

L’automatisation agentique correspond à un système dans lequel plusieurs agents IA collaborent pour atteindre un objectif métier global sans aucune intervention humaine. Chaque agent prend des décisions locales, mais le système fonctionne de manière coordonnée : vérifications, actions, échange d’informations.

💡Dans Make, l’automatisation agentique permet d’automatiser des processus impossibles à gérer via des règles fixes : analyse avancée, gestion d’exceptions, pilotage adaptatif d’un flux documentaire ou opérationnel.